- Auteur
- Roland PORTICHE
- Titre
- L'HOMME QUI RESSEMBLAIT AU CHRIST
- Maison d'édition
- ALBIN MICHEL
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
*L’homme qui ressemblait au Christ* de Roland Portiche
Avec un titre aussi percutant que *L’homme qui ressemblait au Christ* et une couverture évocatrice, je m’attendais à plonger dans un récit à forte teneur mystique, peut-être empreint de symbolisme religieux ou de suspense ésotérique. Je ne savais pas précisément à quoi m’attendre, mais certainement pas à cette histoire-là. Et c’est peut-être là que réside une part de ma déception.
Le début, je dois le dire, était prometteur et collait à mes attentes. L’accroche laissait présager une aventure forte, intense, peut-être même haletante. Puis, progressivement, j’ai senti que le récit s’éloignait de ce que j’imaginais. L’histoire est bonne, je ne le nie pas. Roland Portiche possède une plume fluide, agréable à lire, accessible à tous. Les chapitres sont courts, ce qui en général favorise le rythme. Pourtant, ici, j’ai trouvé le déroulé assez long. J’ai peiné à avancer, ce qui est rare chez moi.
Mais malgré cette lenteur ressentie, il faut reconnaître à ce roman une richesse historique indéniable. On y retrouve Saint-Jean-d’Acre avant sa chute, les Templiers, les Mamelouks, les Moghols et les Tartares... Tous les grands acteurs du XIIIe siècle sont convoqués dans une fresque dense et documentée. Ceux qui aiment les romans où l’histoire rejoint la fiction avec précision y trouveront sans doute leur compte.
Alors oui, ce n’était pas vraiment à mon niveau d’accroche. Mais, comme je le dis souvent, ceci n’est que *mon* ressenti. À vous de vous faire votre propre opinion. Car chaque lecteur a sa propre sensibilité, et ce qui n’a pas su m’emporter pourrait très bien vous séduire.
Avec un titre aussi percutant que *L’homme qui ressemblait au Christ* et une couverture évocatrice, je m’attendais à plonger dans un récit à forte teneur mystique, peut-être empreint de symbolisme religieux ou de suspense ésotérique. Je ne savais pas précisément à quoi m’attendre, mais certainement pas à cette histoire-là. Et c’est peut-être là que réside une part de ma déception.
Le début, je dois le dire, était prometteur et collait à mes attentes. L’accroche laissait présager une aventure forte, intense, peut-être même haletante. Puis, progressivement, j’ai senti que le récit s’éloignait de ce que j’imaginais. L’histoire est bonne, je ne le nie pas. Roland Portiche possède une plume fluide, agréable à lire, accessible à tous. Les chapitres sont courts, ce qui en général favorise le rythme. Pourtant, ici, j’ai trouvé le déroulé assez long. J’ai peiné à avancer, ce qui est rare chez moi.
Mais malgré cette lenteur ressentie, il faut reconnaître à ce roman une richesse historique indéniable. On y retrouve Saint-Jean-d’Acre avant sa chute, les Templiers, les Mamelouks, les Moghols et les Tartares... Tous les grands acteurs du XIIIe siècle sont convoqués dans une fresque dense et documentée. Ceux qui aiment les romans où l’histoire rejoint la fiction avec précision y trouveront sans doute leur compte.
Alors oui, ce n’était pas vraiment à mon niveau d’accroche. Mais, comme je le dis souvent, ceci n’est que *mon* ressenti. À vous de vous faire votre propre opinion. Car chaque lecteur a sa propre sensibilité, et ce qui n’a pas su m’emporter pourrait très bien vous séduire.