- Auteur
- Hervé GAGNON
- Titre
- LES JOURS OÙ J'AI TUE EMMA
- Maison d'édition
- Hugo Roman
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
#chroniquelitteraire / #chronique
*Les jours où j’ai tué Emma* d’Hervé Gagnon
Hervé Gagnon frappe une nouvelle fois juste avec *Les jours où j’ai tué Emma*, un petit roman pour ados… et pour bien plus que ça. Car s’il est court par sa longueur, il est dense par la profondeur des thèmes qu’il aborde, toujours avec cette plume fine et fluide que j’apprécie tant chez l’auteur. Ce que j’aime chez Hervé, c’est sa capacité à adapter son style à son public sans jamais sacrifier la qualité de son écriture. Il parle aux jeunes sans condescendance, avec justesse, émotion et intelligence.
L’histoire s’ouvre sur une rentrée des classes, moment charnière que tout adolescent connaît. Mais pour Emma, cette rentrée s’accompagne de changements profonds, presque déroutants. Que lui est-il arrivé ? Pourquoi ce bouleversement si soudain ? Le lecteur est happé par cette énigme, qui se double rapidement d’une réflexion vertigineuse sur les choix, les conséquences… et les multivers. Et c’est là que le titre prend tout son sens. Il intrigue, dérange, mais ce n’est qu’à la lecture complète du roman que l’on saisit sa pleine subtilité – et sa charge émotionnelle.
Et si… ? Voilà une question que chacun de nous, adulte ou adolescent, s’est déjà posée. Et si j’avais agi autrement ? Et si j’avais dit oui au lieu de non ? *Les jours où j’ai tué Emma* explore cette idée fascinante à travers le prisme de l’adolescence, mais avec une portée universelle. Les lecteurs adultes ne pourront qu’être touchés par cette interrogation existentielle, portée ici avec une grande délicatesse.
Tout est possible, mais tout entraîne des conséquences. Chaque cause a son effet et chaque effet a sa cause… à méditer !
Un roman court, mais puissant. Un roman initiatique et introspectif. Un roman à lire, à offrir, et à garder en tête longtemps après la dernière page. Hervé Gagnon confirme ici qu’il est aussi à l’aise dans le thriller historique que dans la littérature jeunesse, avec toujours la même sincérité.
Bonne lecture.
#JeLisDoncJeSuis
*Les jours où j’ai tué Emma* d’Hervé Gagnon
Hervé Gagnon frappe une nouvelle fois juste avec *Les jours où j’ai tué Emma*, un petit roman pour ados… et pour bien plus que ça. Car s’il est court par sa longueur, il est dense par la profondeur des thèmes qu’il aborde, toujours avec cette plume fine et fluide que j’apprécie tant chez l’auteur. Ce que j’aime chez Hervé, c’est sa capacité à adapter son style à son public sans jamais sacrifier la qualité de son écriture. Il parle aux jeunes sans condescendance, avec justesse, émotion et intelligence.
L’histoire s’ouvre sur une rentrée des classes, moment charnière que tout adolescent connaît. Mais pour Emma, cette rentrée s’accompagne de changements profonds, presque déroutants. Que lui est-il arrivé ? Pourquoi ce bouleversement si soudain ? Le lecteur est happé par cette énigme, qui se double rapidement d’une réflexion vertigineuse sur les choix, les conséquences… et les multivers. Et c’est là que le titre prend tout son sens. Il intrigue, dérange, mais ce n’est qu’à la lecture complète du roman que l’on saisit sa pleine subtilité – et sa charge émotionnelle.
Et si… ? Voilà une question que chacun de nous, adulte ou adolescent, s’est déjà posée. Et si j’avais agi autrement ? Et si j’avais dit oui au lieu de non ? *Les jours où j’ai tué Emma* explore cette idée fascinante à travers le prisme de l’adolescence, mais avec une portée universelle. Les lecteurs adultes ne pourront qu’être touchés par cette interrogation existentielle, portée ici avec une grande délicatesse.
Tout est possible, mais tout entraîne des conséquences. Chaque cause a son effet et chaque effet a sa cause… à méditer !
Un roman court, mais puissant. Un roman initiatique et introspectif. Un roman à lire, à offrir, et à garder en tête longtemps après la dernière page. Hervé Gagnon confirme ici qu’il est aussi à l’aise dans le thriller historique que dans la littérature jeunesse, avec toujours la même sincérité.
Bonne lecture.
#JeLisDoncJeSuis