
- Auteur
- Marie VAISLIC
- Titre
- SEULE A 14 ANS A RAVENSBRUCK ET BERGEN-BELSEN
- Maison d'édition
- ED. LE MANUSCRIT
- Relecture
- Oui
- Service de presse
- Non
Ce petit livre, court par le nombre de pages mais immense par l’émotion qu’il suscite, est une biographie bouleversante, portée par la plume sobre et digne de **Marie Vaislic**, rescapée de la Shoah.
**Elle n’avait que quatorze ans.** Quatorze ans lorsqu’on l’arrête, seule, à Toulouse. Quatorze ans pour traverser l’enfer des camps, de Ravensbrück à Bergen-Belsen. Quatorze ans, l’âge de l’innocence, de la vie qui commence, et pourtant, déjà marquée par l’indicible.
À travers un témoignage rare, illustré de **photos poignantes** – avant, pendant, et après la déportation –, Marie Vaislic nous livre avec pudeur son parcours de jeune fille arrachée à son quotidien, séparée des siens, projetée dans l’horreur. **Elle parle du froid, de la faim, des coups, des maladies, des humiliations.** Mais elle le fait sans haine, sans effet de style, juste avec la vérité nue, celle de la souffrance incommensurable et du silence imposé au retour.
Car c’est aussi ce silence qui bouleverse. Le silence de celles et ceux qui ont survécu, revenus dans un monde qui ne voulait ni voir ni entendre. Un silence que, aujourd’hui encore, on peine à comprendre, mais que Marie Vaislic explique avec des mots simples, puissants, nécessaires.
**Ce témoignage est une voix. Une voix longtemps tue, qui s’élève enfin.** Et il est de notre devoir de l’écouter.
> Je tiens à souligner un point crucial : **être juif n’est pas une race, mais une religion.** Tout comme on peut être chrétien, musulman ou bouddhiste. L’amalgame entre judaïsme et race, répété encore aujourd’hui, est non seulement faux, mais insupportable. C’est précisément ce genre d’ignorance qui a mené à l’horreur de la Shoah.
Je recommande profondément ce livre, **émouvant, digne et éclairant**. Une lecture indispensable, pour ne jamais oublier, et pour transmettre. Parce qu’à quatorze ans, on ne devrait jamais être seule à Ravensbrück. Ni ailleurs.
**Elle n’avait que quatorze ans.** Quatorze ans lorsqu’on l’arrête, seule, à Toulouse. Quatorze ans pour traverser l’enfer des camps, de Ravensbrück à Bergen-Belsen. Quatorze ans, l’âge de l’innocence, de la vie qui commence, et pourtant, déjà marquée par l’indicible.
À travers un témoignage rare, illustré de **photos poignantes** – avant, pendant, et après la déportation –, Marie Vaislic nous livre avec pudeur son parcours de jeune fille arrachée à son quotidien, séparée des siens, projetée dans l’horreur. **Elle parle du froid, de la faim, des coups, des maladies, des humiliations.** Mais elle le fait sans haine, sans effet de style, juste avec la vérité nue, celle de la souffrance incommensurable et du silence imposé au retour.
Car c’est aussi ce silence qui bouleverse. Le silence de celles et ceux qui ont survécu, revenus dans un monde qui ne voulait ni voir ni entendre. Un silence que, aujourd’hui encore, on peine à comprendre, mais que Marie Vaislic explique avec des mots simples, puissants, nécessaires.
**Ce témoignage est une voix. Une voix longtemps tue, qui s’élève enfin.** Et il est de notre devoir de l’écouter.
> Je tiens à souligner un point crucial : **être juif n’est pas une race, mais une religion.** Tout comme on peut être chrétien, musulman ou bouddhiste. L’amalgame entre judaïsme et race, répété encore aujourd’hui, est non seulement faux, mais insupportable. C’est précisément ce genre d’ignorance qui a mené à l’horreur de la Shoah.
Je recommande profondément ce livre, **émouvant, digne et éclairant**. Une lecture indispensable, pour ne jamais oublier, et pour transmettre. Parce qu’à quatorze ans, on ne devrait jamais être seule à Ravensbrück. Ni ailleurs.